Ça va deux minutes de faire le zouave, mais faut redevenir sérieux Azamat ! Chef, oui Chef !
Pas gêné pour un sous (expression "old school"...), je vous propose successivement deux interprétations - n'ayons pas peur des mots et de leurs conséquences - d'un extrait du répertoire de l'opéra italien que je ne peux écouter sans ma boite de Kleenex à côté de moi, tant je suis un être sensible et prompt à verser ma larme (si, si !). Il s'agit d'un extrait célébrissime de "Turandot" de Puccini, "Nessun dorma". Il y a de la magie dans cet air et, pour qui ignorerait le reste de cet opéra, il pourrait se suffit à lui-même, faisant presque oublier le reste de cette œuvre lyrique. Luciano Pavarotti. D'aucun pourrait dire "voilà une démonstration, un performance, c'est pompier". Pour ma part, dans un commentaire sur Youtube, je trouve cette phrase : « Quand Luciano Pavarotti chante, le soleil se lève sur le monde. » (Carlos Kleiber). Tout est dit. Démonstration :
http://www.youtube.com/v/QtlgzFKWZKE
La 2ème interprétation ? Hahaaaa... Des oreilles puristes saigneront. Les miennes se sont réjouies en faisant, il y a quelques minutes, cette découverte d'une reprise de cet air par Manowar... un groupe de Métal ! :lol: Et vous savez quoi ? Ça déchire grave ! :d
http://www.youtube.com/v/SclJmnRMLnQ
Etonnant, non ?