[Toxique]8pensées toxiques dont il vaut mieux se débarrasser
Posté : 18 jui 2014 12:08
8 pensées toxiques dont il vaut mieux se débarrasser
Tout ne va pas toujours pour le mieux, même avec la meilleure volonté du monde, il est impossible de traverser sa vie sans aucune difficulté, et sans les chutes de moral qui parfois l'accompagne.
Mais en prenant un peu de recul, on constate que notre esprit est souvent parasité par tout un ensemble de pensées négatives, qui influencent notre moral sans raison valable.
Penser que tu es une victime
Lorsque les nuages noirs s'amoncellent au dessus de nos têtes, et que l'on ne trouve pas de solution rapide pour les dissiper, la solution la plus "facile" est souvent de sombrer dans le fatalisme, penser que l'on n'y peut rien, que le sort s'acharne, que notre bonne étoile a disparu.
Il y a parfois des événements qui nous tombent dessus sans que nous ne puissions rien y faire. Mais attention à la tentation qui guette de fuir nos responsabilités, et de ne plus croire en notre pouvoir de changer les choses.
Penser que l'on peut tout changer... y compris les autres
C'est peut-être un point un peu polémique, qui j'espère en tout cas te fera réagir : avons-nous le pouvoir de faire changer les autres ?
En réalité je pense que oui, dans une moindre mesure, en les inspirant par des comportements positifs, ou en leur démontrant qu'une autre façon de faire est possible.
Mais le changement ne se produit vraiment que si la personne en face de nous l'a vraiment décidé.
Il faudrait alors agir comme nous souhaiterions que les autres le fassent. Mais sans attendre pour autant que ce changement de comportement se produise.
Attendre trop de choses des autres
Avoir des amis, des proches, des collègues, en qui l'on pense pouvoir faire confiance, c'est évidemment important.
Mais attention à ne pas tomber dans l'excès de trop en demander. Nos priorités ne sont pas forcément celles des autres. Et il faut parfois s'attendre à devoir se débrouiller seul.
Trop se préoccuper de l'avis des autres
Un sujet que j'ai déjà abordé plusieurs fois dans le passé, bien illustré récemment par ce témoignage de Whil Wheaton.
Nous attachons souvent beaucoup trop d'importance à ce que les autres pensent de nos choix et de nos actions, alors que cela ne devrait pas nous guider, et surtout... parce qu'il est fort possible que tout le monde s'en moque.
Penser que l'herbe est toujours plus verte ailleurs
Certains semblent penser que le simple fait de partir et s'installer dans un autre pays suffira à régler tous leurs problèmes et leur apporter le succès sur un plateau.
Ou que s'ils arrivaient à se faire embaucher dans telle entreprise, alors leur carrière prendrait enfin son envol.
Encore une fois, je crois que cela reflète surtout notre tendance naturelle à fuir notre responsabilité, en pensant que si le contexte était différent, alors tout serait facile.
Penser que tu dois toujours avoir raison
Admettre que l'on a tort est une lutte souvent difficile, qui implique de se remettre en question, de se mettre à la place des autres pour tenter de comprendre leurs points de vue.
Mais c'est nécessaire, et il n'est surtout pas utile de toujours vouloir avoir le dernier mot.
Attention, cela ne veut pas dire pour autant que l'on doit se laisser influencer et abandonner ses convictions.
Ma maxime du moment : "je suis prêt à changer d'avis, mais il faudra m'apporter de solides arguments"
Penser qu'il y a forcément UNE bonne et UNE mauvaise réponse
Suite logique au point précédent, il y a également une troisième voie à ne pas négliger : il n'y a pas forcément une personne qui a raison, et l'autre qui se trompe, mais parfois simplement deux avis différents qui peuvent coexister. Et il n'y a aucune problème avec ça.
De la même façon : il n'y a que rarement une solution unique à un problème.
Trop se soucier du futur
Tenter de planifier notre vie permet au moins de tenter de comprendre nos aspirations, nos objectifs, de se fixer des priorités.
Mais le risque est que l'on se sente parfois paralysé face à l'apparente difficulté du chemin qui se trace devant nous. Parce que nous ne nous sentons pas prêt.
Ou parce que nous pensons que notre passé va fatalement déterminer ce qui va se passer ensuite.
Il est sans doute parfois utile de lâcher prise, et de simplement se diriger dans la bonne direction.
Celle que l'on a choisi.
Tout ne va pas toujours pour le mieux, même avec la meilleure volonté du monde, il est impossible de traverser sa vie sans aucune difficulté, et sans les chutes de moral qui parfois l'accompagne.
Mais en prenant un peu de recul, on constate que notre esprit est souvent parasité par tout un ensemble de pensées négatives, qui influencent notre moral sans raison valable.
Penser que tu es une victime
Lorsque les nuages noirs s'amoncellent au dessus de nos têtes, et que l'on ne trouve pas de solution rapide pour les dissiper, la solution la plus "facile" est souvent de sombrer dans le fatalisme, penser que l'on n'y peut rien, que le sort s'acharne, que notre bonne étoile a disparu.
Il y a parfois des événements qui nous tombent dessus sans que nous ne puissions rien y faire. Mais attention à la tentation qui guette de fuir nos responsabilités, et de ne plus croire en notre pouvoir de changer les choses.
Penser que l'on peut tout changer... y compris les autres
C'est peut-être un point un peu polémique, qui j'espère en tout cas te fera réagir : avons-nous le pouvoir de faire changer les autres ?
En réalité je pense que oui, dans une moindre mesure, en les inspirant par des comportements positifs, ou en leur démontrant qu'une autre façon de faire est possible.
Mais le changement ne se produit vraiment que si la personne en face de nous l'a vraiment décidé.
Il faudrait alors agir comme nous souhaiterions que les autres le fassent. Mais sans attendre pour autant que ce changement de comportement se produise.
Attendre trop de choses des autres
Avoir des amis, des proches, des collègues, en qui l'on pense pouvoir faire confiance, c'est évidemment important.
Mais attention à ne pas tomber dans l'excès de trop en demander. Nos priorités ne sont pas forcément celles des autres. Et il faut parfois s'attendre à devoir se débrouiller seul.
Trop se préoccuper de l'avis des autres
Un sujet que j'ai déjà abordé plusieurs fois dans le passé, bien illustré récemment par ce témoignage de Whil Wheaton.
Nous attachons souvent beaucoup trop d'importance à ce que les autres pensent de nos choix et de nos actions, alors que cela ne devrait pas nous guider, et surtout... parce qu'il est fort possible que tout le monde s'en moque.
Penser que l'herbe est toujours plus verte ailleurs
Certains semblent penser que le simple fait de partir et s'installer dans un autre pays suffira à régler tous leurs problèmes et leur apporter le succès sur un plateau.
Ou que s'ils arrivaient à se faire embaucher dans telle entreprise, alors leur carrière prendrait enfin son envol.
Encore une fois, je crois que cela reflète surtout notre tendance naturelle à fuir notre responsabilité, en pensant que si le contexte était différent, alors tout serait facile.
Penser que tu dois toujours avoir raison
Admettre que l'on a tort est une lutte souvent difficile, qui implique de se remettre en question, de se mettre à la place des autres pour tenter de comprendre leurs points de vue.
Mais c'est nécessaire, et il n'est surtout pas utile de toujours vouloir avoir le dernier mot.
Attention, cela ne veut pas dire pour autant que l'on doit se laisser influencer et abandonner ses convictions.
Ma maxime du moment : "je suis prêt à changer d'avis, mais il faudra m'apporter de solides arguments"
Penser qu'il y a forcément UNE bonne et UNE mauvaise réponse
Suite logique au point précédent, il y a également une troisième voie à ne pas négliger : il n'y a pas forcément une personne qui a raison, et l'autre qui se trompe, mais parfois simplement deux avis différents qui peuvent coexister. Et il n'y a aucune problème avec ça.
De la même façon : il n'y a que rarement une solution unique à un problème.
Trop se soucier du futur
Tenter de planifier notre vie permet au moins de tenter de comprendre nos aspirations, nos objectifs, de se fixer des priorités.
Mais le risque est que l'on se sente parfois paralysé face à l'apparente difficulté du chemin qui se trace devant nous. Parce que nous ne nous sentons pas prêt.
Ou parce que nous pensons que notre passé va fatalement déterminer ce qui va se passer ensuite.
Il est sans doute parfois utile de lâcher prise, et de simplement se diriger dans la bonne direction.
Celle que l'on a choisi.